Sur un forum, il est prétendu que je me suis approprié "les formules des autres." Et comme exemple il est donné « éditeur propulseur. »
Ce qui m'a causé un sourire matinal !
Il est vrai qu'il m'est reproché de nombreuses choses, dont celle de gérer plusieurs comptes twitter. Comme je l'avais déjà expliqué à un certain @sediter : le compte @salondulivre_ est celui du
prix littéraire , editeurpro, celui de ce site, qui présente certes pour l'instant surtout mes livres mais aussi ceux de Michel Carcenac (et d'autres "sûrement" bientôt), @ternoise, c'est le mien, perso. J'ai aussi un compte dédié à la partie théâtre de mes écrits (oui, je suis aussi un dramaturge joué, je suis désolé de ne pas me limiter à un seul domaine !)
Je reviens à editeur.pro
Puisqu'il m'est reproché d'avoir eu l'intelligence de réserver des noms de domaines utiles (utile est mon résumé) d'auto-edition.com (en 2000 et non hier) à editeur-pro.
Alors pourquoi utiliser "éditeur propulseur" ?
Simplement en consultant le dictionnaire, un certain Robert, pour être certain de ne passer à côté d'aucun terme : éditeur professionnel, éditeur prolétaire, éditeur promotion et donc éditeur propulseur.
Quelqu'un l'a utilisé avant ? Je n'en sais rien. En tout cas, ce site est en ligne depuis le 10 mai 2009 et c'est la première fois que je lis pareille critique !
Naturellement, je sais que ma position peut déranger : je conseille aux écrivains de ne surtout pas signer avec des éditeurs, même 100% numériques, car ils risquent de s'en mordre les doigts le jour où ils compareront leur pourcentage de droits d'auteur avec celui du système que je préconise !
L'auto-édition, ce n'est pas pour les auteurs refusés par les éditeurs (même 100% numériques, qui n'ont pourtant pas tous un niveau d'exigence littéraire élevé) mais pour les écrivains qui souhaitent vivre de leur plume, choisir leur route...
Dans ce petit procès sur mes essais promotionnels dans la sphère des médias sociaux (je n'ai que 700 abonnés sur twitter, contre plus de 70 000 abonnés au "mensuel" LE WEBZINE GRATUIT), l'auteur n'ayant jamais publié est aussi virulent que l'éditeur numérique (il note quelques confrères) : c'est sûrement le plus triste. Qu'un internaute ayant l'intention de publier un jour se retrouve dans le camp des éditeurs quand nous vivons une période exceptionnelle : la redistribution des cartes du monde de l'édition... Il pense ainsi plaire aux éditeurs numériques ? Ou simple manque de lucidité, cette lucidité qui pourrait lui permettre de comprendre les véritables enjeux de notre époque ? Ou, n'ayant jamais publié, il méconnait la nécessaire promotion ? Je l'ignore. J'ai parcouru son blog, sous wordpress.com (il est vrai qu'auto-edition.pro c'est quand même préférable !) sans trouver de véritable réponse. Il est toujours intéressant d'essayer de comprendre pourquoi les gens ont des positions qui s'opposent manifestement à leur véritable intérêt à long terme : pour lui comme pour moi, la disparition des éditeurs serait préférable...
Précision importante quant à l'objectivité des critiques de l'internaute identifié sur le forum et sur twitter sous "SEDITER" :
Il signe de nombreux articles sur le site jiminypanoz.com ; et "bizarrement" les interventions de "SEDITER" glorifient l'ebook signé Jiminy Panoz...
Un monsieur qui n'a pas lu un ebook et encense l'ebook d'un autre auteur avec lequel il a une certaine proximité... Bravo !
Un monsieur qui donne des leçons de morale quant à l'utilisation de twitter !
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- le 16 novembre 2011 à 15 : 21
par pierre : Les copains d'abord.
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